vendredi 23 juillet 2010

Petite leçon de science politique, à l'usage de nos politiciens...

Qu'ils entendent ceux qui ont des oreilles...
Qu'ils voient ceux qui ont des yeux...

5 commentaires:

  1. Vu et entendu mais les aveugles et les sourds sont légions.

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  2. Il semble en effet que, depuis 1940, ils ont été nombreux à ignorer la sagesse de Chaplin.

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  3. Et dire qu'il y en a encore pour se demander comment il se fait que le monde aille si mal!

    Je pense que le vieux proverbe "il n'y de pire sourd que celui qui ne veux entendre, Il n'y a de pire aveugle que celui qui ne veux pas voir" (et ceci dit en tout respect des sourds et des aveugles véritables) se confirme de jour en jour!

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  4. Le problème, Boris, c'est que nos politicien voient et entendent parfaitement bien.
    Ce sont les électeurs qui n'ouvrent pas leurs yeux et leurs oreilles.
    On ne peut pas nier l'effet du conditionnement. Il se fait surtout par le divertissement. Regarde les jeux conçus pour les enfants, ce ne sont que banalisation de la guerre et de la domination. La télévision présente dans tous les foyers distille la propagande qui va finir le travail.
    Peu nombreux sont ceux qui voient et entendent et leur voix est couverte par le tumulte des autres.

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  5. Chaplin lui-même, à la fin de son film, nous offre des voies de solution alors qu'il incarne le barbier juif ayant usurpé l'identité du dictateur. J'ai vu ce film pour la première fois quelque part en octobre 2001... j'osais seulement espérer que cette voie puisse prévaloir dans un contexte international à tout le moins aussi tendu qu'au moment où le film a été tourné. Mais nous sommes tellement conditionnés à prendre la voie du pessimisme...

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