J'ai perdu mon Eurydice, extrait de l'acte III de l'opéra Orphée et Eurydice, de C.W. Gluck. Originellement écrit pour une voix de castrat, et ici chanté par la Divine, Maria Callas en personne.
J'ai perdu mon Eurydice
Rien n'égale mon malheur
Sort cruel! Quelle rigueur!
Rien n'égale mon malheur!
Je succombe à ma douleur.
Eurydice, Eurydice,
Réponds, quel supplice, réponds-moi!
C'est ton époux fidèle
Entends ma voix qui t'appelle!
J'ai perdu mon Eurydice
Rien n'égale mon malheur
Sort cruel! Quelle rigueur!
Rien n'égale mon malheur!
Je succombe à ma douleur.
Eurydice, Eurydice,
Réponds, quel supplice, réponds-moi!
Mortel silence! Vaine espérance!
Quell souffrance!
Quel tourment déchire mon coeur!
J'ai perdu mon Eurydice
Rien n'égale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'égale mon malheur!
Je succombe à ma doleur.
Orphée en fait peut être un peu trop !....
RépondreSupprimerEurydice aurait probablement été une enquiquineuse ... :)
D'ailleurs - manifestement - elle lui avait déjà cassé les ... c.... . Rôôôh .
RépondreSupprimerSi on considère que le rôle en était un de castrat, je puis comprendre ton point de vue. En tout état de cause, comme on dit au Québec, ça n'aurait pas fait des enfants forts!
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